La Presse parle de nous

Voici les coupures de presse qui parle de notre association, les Abbesses de Gagny-Chelles

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vendredi 23 octobre 2009

Le Parisien : Annonce du soutien de la région au projet de la côte du Beauzet ou Montguichet

Edition Abonnés - Seine-et-Marne Nord

VIVRE EN SEINE-ET-MARNE

Huchon soutient la préservation du Montguichet

CHELLES

Article du Parisien du 23/10/2009

Le président de la région Ile-de-France (PS), Jean-Paul Huchon, vient officiellement d’apporter son soutien au projet de préservation du Montguichet, entre Chelles et Gagny (Seine-Saint-Denis), porté par l’association naturaliste Anca. Basée à Neuilly-Plaisance, elle vise à créer un sanctuaire naturel sur ces 90 ha d’anciennes carrières, propriété du groupe Saint-Gobain, qui surplombent le quartier pavillonnaire chellois des Abbesses.

Le projet prévoit l’entretien de « lisières » bordées de mares où pourraient se développer des espèces protégées et la création d’une zone dédiée à l’agriculture biologique. Dans un courrier adressé hier aux élus et aux responsables de Saint-Gobain, Jean-Paul Huchon souligne que « l’intervention de l’Anca réduira l’érosion de la biodiversité et inscrira ce site dans sa valorisation future ».

Dans une semaine, le projet du Montguichet sera examiné par le conseil d’administration de la Fondation Placo, filiale de Saint-Gobain et propriétaire du site.

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Article du Parisien du 23/10/2009

mercredi 7 octobre 2009

07-10-2009 : Le journal La Marne donne la parole à notre président

Suite aux déclarations du représentant de Saint-Gobain développement concernant le projet, le journal La Marne a désiré recueillir l'avis officiel du Président des Abbesses de Gagny-Chelles. Ce dernier est également le représentant des Amis Naturalistes des Coteaux d'Avron sur ce projet.

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mardi 6 octobre 2009

Quand la télévision parle du projet Chellois de la côte Montguichet ou du Beauzet.

Le 29 Septembre dernier, le projet de préservation de la côte du Beauzet ou Montguichet de l'ANCA a eu l'honneur du Journal Tv de la Télévision Câblée et ADSL Canal Coquelicot.fr.

Malgré certaines inexactitudes sur la nature et l'état d'avancement du projet ainsi que des prises de vues pas très représentatives, cela démontre néanmoins l'engouement grandissant du projet auprès de la population locale et des environs.


Chelles Montguichet Canal Coquelicot 77

mercredi 30 septembre 2009

30-09-2009 : Le journal La Marne donne la parole au nouvel interlocuteur du groupe Saint-Gobain

En effet, le groupe Saint-Gobain a jugé nécessaire de nommer un nouvel interlocuteur au projet de la côte du Beauzet sur la commune de Chelles.

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Ce nouvel interlocuteur est le délégué de Saint-Gobain développement au niveau de la région Ile de France.

Saint-Gobain Développement a été créé en 1982 pour mener à bien les reconversions liées aux restructurations du groupe. Ses missions concernent aujourd'hui trois domaines : les ressources humaines et affaires sociales (veille sociale, restructurations, reclassement des salariés…) ; le soutien au développement économique local (prêts aux PME voisines, redynamisation économique des sites abandonnés…)...

Veuillez cliquer sur l'image pour lire l'article :

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30-09-2009 : La Parisien réalise un article sur les incertitudes du projet Chellois de Montguichet ou de la côte du Beauzet

Chelles

Incertitudes sur le projet de réserve naturelle

Ava Djamshidi | 30.09.2009, 00h00

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MANTES RELIGIEUSES, éperviers et hiboux rares ne se doutent pas de l’intrigue qui se trame dans leur dos. Que va devenir leur espace naturel, situé sur l’ancienne carrière de gypse qui surplombe le quartier des Abbesses, entre Chelles et Gagny (Seine-Saint-Denis), sur la côte du Montguichet ? Il faudra encore patienter un mois avant de savoir si ce site de 90 ha prendra les contours d’une gigantesque réserve naturelle accessible au public, comme le désire la ville de Chelles.

Vendredi, le conseil municipal de la commune a en effet voté à l’unanimité un projet de valorisation de l’environnement porté par l’Anca, une association de Seine-Saint-Denis qui entend protéger le patrimoine exceptionnel des lieux. Objectif de ce programme, circonscrit à la commune de Chelles faute de réponse favorable de sa voisine, Gagny: « Créer un sanctuaire naturel pour permettre à la biodiversité de s’y développer », détaille Christophe Nedelec, un membre de l’association.

Mais c’est une fondation du groupe Saint-Gobain, propriétaire du site, qui décidera du sort de l’ancienne carrière à la fin du mois prochain. « Nous étudions ce projet avec bienveillance. Mais parallèlement, nous devons tenir compte d’autres intérêts divergents », détaille un délégué régional de l’entreprise, résolument discret sur l’origine des opposants au projet.

« Il y a d’autres utilisateurs naturels des lieux, comme des chasseurs ou encore des sportifs, or le projet doit être harmonieux. Les élus des différentes communes concernées vont être consultés avant le conseil d’administration, nous ne souhaitons pas être la source de litiges », confie, prudent, ce cadre du groupe. Quant au développement économique de cette zone, l’entreprise, leader du marché de l’habitat, ne l’a pas omis. « Cela nous motive évidemment beaucoup », poursuit le salarié de Saint-Gobain.

De son côté, Christophe Nédélec redoute que le vent tourne et que le projet ne voie finalement pas le jour à cause de l’opposition, notamment, de certains élus dont personne ne souhaite ouvertement donner les noms. Verdict de la Fondation du groupe à la fin du mois prochain. Mantes religieuses, éperviers et hiboux rares sauront alors si leur carrière sera sanctuarisée.

Le Parisien

Article du Parisien du 30/09/2009

mercredi 9 septembre 2009

09-09-2009 : Le journal LA MARNE réalise un article sur le projet Montguichet ou de la côte du Beauzet

Décidément le projet de la côte du Beauzet ou Montguichet à Chelles a eu l'honneur de la presse locale. Voici donc l'excellent article du journal hebdomadaire "LA MARNE" paru le Mercredi 09 Septembre 2009.

Il y a une petite coquille, le budget "idéal" est de 50 à 60.000 € par AN et non par MOIS.

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09-09-2009 : La Parisien réalise un article sur le projet Montguichet ou de la côte du Beauzet

Cet article est paru dans l'édition "Seine et Marne" et "Seine Saint-Denis" avec quelques variantes.

Chelles

Un sanctuaire pour la nature en projet au Montguichet

Christel Brigaudeau | 09.09.2009, 07h00

Devinette : où trouve-t-on onze espèces d’orchidées sauvages, des arbres classés nationalement, des mantes religieuses et des coucous, le tout à une vingtaine de kilomètres de Paris ? Réponse : sur la côte du Montguichet.

Vignette Parisien Beauzet

Longtemps oublié, cet espace naturel de 90 ha qui surplombe le quartier des Abbesses, entre Chelles et Gagny (Seine-Saint-Denis), est une ancienne carrière de gypse à ciel ouvert. Propriété du groupe Saint-Gobain, il fait l’objet d’un projet de valorisation de l’environnement qui sera examiné pour avis le 25 septembre par le conseil municipal de Chelles.

Porté par l’Anca, une association naturaliste de Neuilly-Plaisance (Seine-Saint-Denis), et soutenu par plusieurs collectifs chellois, ce programme ambitieux vise à « recréer un milieu naturel pour permettre à la biodiversité encore présente de se développer », résume Christophe Nedelec. Informaticien la semaine, naturaliste passionné le week-end, c’est ce riverain des Abbesses qui s’est penché, il y a plus d’un an, sur le berceau du Montguichet pour le compte de l’Anca. « Ici, on peut s’immerger quatre heures dans la nature sans croiser personne, s’enthousiasme-t-il. C’est un patrimoine exceptionnel… »

Un troupeau de chèvres à la rescousse

Lequel serait menacé d’extinction. La faute au manque d’entretien des lisières du bois, les plus riches en espèces rares. Et aux agressions répétées de visiteurs peu scrupuleux. Circonscrit à la commune de Chelles faute de réponse favorable de Gagny, le projet de l’Anca consiste à « sanctuariser » 5 à 6 ha au sommet du Montguichet.

Pour recréer le sol des origines, pollué par des remblais, l’association souhaite « faire venir quelques dizaines de mètres cubes de marnes provenant des carrières actuellement en exploitation par Placoplatre à Vaujours » puis laisser faire la nature… et un troupeau de chèvres. Des visites pédagogiques seraient ensuite organisées.

En contrebas poussent aujourd’hui des plants de maïs. L’Anca rêve de les faire coexister avec des vignes et un verger associatifs, ainsi qu’un céréalier et un maraîcher bio.

« Notre idée n’est pas de nous approprier le terrain mais d’en confier le développement et la gestion aux associations volontaires », précise Christophe Nedelec.

L’Amap de Chelles, qui croule sous quelque 300 demandes de paniers bio, pourrait s’associer à la démarche. Bien ficelé sur le papier, le projet doit encore obtenir l’aval de Saint-Gobain, et un éventuel financement à hauteur de 50 000 € par an. « Nous apprécions l’idée proposée pour le secteur du Montguichet mais pour l’heure, rien n’est tranché », confie, prudent, un cadre du groupe. La Fondation de l’entreprise, réunie en conseil d’administration, devrait clarifier sa position le 30 octobre.

Christel Brigaudeau

Edition Seine et Marne

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Edition Seine Saint-Denis

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mardi 26 mai 2009

25-05-2009 : La Parisien réalise un article sur notre opposition au projet de Gymnase sur la zone naturelle de la carrière Saint-Pierre

Trois associations s’opposent au projet de gymnase

Les carrières donnent décidément bien du souci à Michel Teulet, le maire (UMP) de Gagny. Son projet de gymnase sur la carrière de l’est est attaqué par trois associations, Gagny environnement, les Amis naturalistes du coteau d’Avron et les Abbesses de Gagny-Chelles. Elles ont déposé un recours devant le tribunal administratif contre la modification du plan d’occupation des sols (POS) voté en janvier dernier.

Article du Parisien du 25-05-2009 sur - Le procès du Gymnase

Le projet prévoit la construction d’un gymnase face au collège Théodore-Monod. Le maire s’appuie sur une promesse de vente du propriétaire, Saint-Gobain, pour un euro symbolique.

Le maire dénonce « les ayatollahs de la nature »

« Nous aussi voulons un gymnase pour la ville, mais pas sur ce site, explique Christophe Nédelec, de l’association des Abbesses. A cinquante mètres, Saint-Gobain possède des terrains dont l’aménagement n’entraînerait pas de difficultés. » « Un terrain vierge cédé gratuitement et une ancienne usine à racheter et à dépolluer, ce n’est pas le même coût », rétorque le maire.

Pour les associations, l’objectif est de préserver la nature sur le site. Les 65 hectares de l’ancienne carrière sont classés en Znief (zone naturelle d’intérêt faunistique et floristique) et présentent une importante biodiversité. Le conseil régional a récemment recommandé son classement en espaces verts. Un projet associatif est à l’étude pour transformer l’ensemble du site en parc régional. « Une première construction, ce serait le début du mitage », craint Jean Denis, de Gagny environnement, qui pointe également la présence d’une ligne à haute tension. « Une mesure à l’encontre du Grenelle 2 de l’environnement, juge-t-il. Dans certains départements, les constructions sont interdites sous les lignes. Malheureusement, ce n’est pas le cas en Seine-Saint-Denis. ».

Pour le militant associatif, « la leçon du plan local d’urbanisme (PLU) n’a servi à rien ». En mars, après un marathon de quatre ans, le Conseil d’Etat a annulé le PLU, attaqué par Gagny environnement. « C’est toujours la même absence de concertation. Ça représente beaucoup d’argent dépensé et des projets municipaux qui n’avancent pas », déplore Jean Denis.

Un argument balayé par Michel Teulet. « On ne va pas les consulter chaque fois qu’on construit un gymnase. Après avoir rencontré un membre de l’association des Abbesses, nous avons décidé de revoir le projet en le rapprochant de la route. La surface concernée n’est que de 2 000 m 2 sur un total de 500 000 m 2 . Le problème, c’est que j’ai une vision humaniste, je pense aux 600 enfants concernés par ce gymnase. En face, ce sont des ayatollahs de la nature. »

Gireg Aubert | 25.05.2009, 07h00

Il est important de préciser comme le montre l'article suivant que l'emplacement choisi pour le gymnase est situé dans le secteur du Petit Vallon qui est le plus riche en biodiversité de la carrière Saint-Pierre : 22-05-2009 : Visite du secteur du Petit Vallon de la carrière Saint-Pierre de Gagny-Chelles.

Que le gymnase soit situé à proximité de l'emprise du vieux chemin de Meaux ou pas, les travaux de terrassement du futur chantier et les apports de remblais vont irrémédiablement détruire les biotopes du secteur. Déplacer de seulement quelques mètres le projet, ne va pas changer cette réalité. La présence des lignes à haute tension n'est également pas résolu par ce très léger remaniement qui ressemble pour nous à un simple effet d'annonce.

samedi 28 février 2009

Notre demande officielle de droit de réponse à l'Edito du bulletin municipal de Gagny Magazine

En sa qualité de "Directeur de la publication de GAGNY Magazine", nous avons demandé à Monsieur Michel Teulet d'insérer notre droit de réponse dans le prochain bulletin municipal.

Il est de jurisprudence constante que « Il n’importe que l’auteur de la réponse n’ait pas été expressément nommé par l’article incriminé, s’il est aisément identifiable. (Crim. 4 juin 1953. D.1953. 665, note Chavanon).

En application des dispositions de l’article 13 de la loi du 29 juillet 1881, et en réponse à l’éditorial de Monsieur le maire, nous avons demandé l'insertion du texte intégral présenté ci-dessous dans le prochain numéro de Gagny Magazine.

Nous espérons que Monsieur Michel Teulet saura respecter nos droits et commencer réellement à nouer un dialogue constructif avec les associations qui défendent le projet du parc et qui s'opposent à l'emplacement choisi pour l'édification du gymnase Théodore Monod.

Droit de Réponse des Abbesses de Gagny-Chelles :

Dans l’Edito du Bulletin Municipal du mois de Février 2009 (Gagny Magazine n°137, Monsieur Michel Teulet a mis en cause notre association « Les Abbesses de Gagny-Chelles » (http://gagny-abbesses.info).

Dans cet édito, la municipalité se targue d’avoir toujours été animée d’une volonté de préserver la nature de la carrière Saint-Pierre.

Comment la municipalité peut-elle donc se justifier de l’autorisation de coupe, d’abattage et de remblaiement sur 19 hectares de la carrière Saint-Pierre qu’elle a accordé en 1998 à la société SNC France Construction.

Comment la municipalité peut-elle justifier les 3 années de procédures juridiques contre l’association Gagny Environnement qui ont mené avec succès à l’abandon de ce projet de Zone d'Aménagement Concerté (ZAC) ?

Comment peut-elle expliquer et cela malgré des demandes répétées de l’association « Les Amis Naturalistes des Coteaux d’Avron », qu’il n’existe aucun arrêté de protection des biotopes sur la Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique de type 1 de la carrière Saint-Pierre et de la côte Beauzet ?

Pourquoi l’Agence des Espaces Verts d’Ile de France n’est elle pas autorisé à préempter la carrière Saint-Pierre ?

Concernant la construction du gymnase Théodore Monod sur la ZNIEFF de la carrière Saint-Pierre. Nous voulions signaler que 5000m2 sur 50 hectares, cela fait 1 pour 100 et non 1 pour 1000.

L’installation du gymnase est prévue sous des lignes à haute tension. Il en va donc également de la santé de nos enfants.

L’emplacement choisi pour l’édification du gymnase va détruire des espèces naturelles rares et/ou protégées au niveau régional et national.

Une des alternatives proposées est un terrain industriel abandonné, d’une taille supérieure (~6900m2) et contigu au collège Théodore Monod. Son propriétaire est le même que la parcelle choisie : Saint-Gobain (anciennement Poliet et Chausson).

Pourquoi détruire des espèces protégées et rares quand il existe à proximité d’anciens bâtiments industriels à l’abandon (des bâtiments qui devront de toutes les façons être un jour réhabilités) ?

Pourquoi la société Saint-Gobain a t’elle accepté de céder un terrain de 5000m2 pour 1 euro symbolique ? Que vont devenir la vingtaine d’hectares qu’elle possède encore sur Gagny ?

Il convient de préciser que 3 associations s’opposent à la construction du gymnase sur la parcelle choisie : « Gagny Environnement », « Les Amis Naturalistes des Coteaux d’Avron » et « Les Abbesses de Gagny-Chelles ».

Christophe NEDELEC Président de l’Association « Les Abbesses de GAGNY-CHELLES »

L'édito malheureux de Mr Teulet - Cliquer pour agrandir :

L'Edito du Bulletin Municipal N°137 de Février 2009

mercredi 18 février 2009

L'Edito du Bulletin Municipal N°137 de Février 2009

La municipalité de Gagny a consacré l'intégralité de l'Edito du Bulletin Municipal du mois de février 2009 à parler des relations qu'elle entretient avec notre association Les Abbesses de Gagny-Chelles.

En effet, le projet du Parc Saint-Pierre et Bausset ainsi que notre opposition positive à la construction du gymnase Théodore Monod sur la Zone Naturelle d'Intérêt Floristique et Faunistique de Gagny-Chelles commence réellement à prendre de l'ampleur.

Après l'article du Parisien paru le 4 février 2009, Mr Teulet en sa qualité de Maire de Gagny a jugé opportun d'utiliser l'édito du Bulletin Municipal pour exposer sa position. Il a pris grand soin de ne pas nous citer nominativement ce que nous déplorons..

Nous regrettons énormément le ton employé et les sous-entendus douteux sur l'honnêteté et la pureté de notre démarche. Nous déplorons également la volonté affichée de monter la population contre nous.

Il aurait été préférable qu'un dialogue sain soit engagé avec toutes les associations et administrés gabiniens qui sont opposés à l'urbanisation de la carrière Saint-Pierre.

Nous espérons bien entendu obtenir un droit de réponse dans le Bulletin Municipal et cela dans les plus brefs délais.

Quand nos esprits se seront calmés, nous préparerons une réponse officielle à cet édito des plus malheureux.

L'urbanisation de la carrière Saint-Pierre :

  1. La Mairie de Gagny est favorable à l'urbanisation de la carrière Saint-Pierre ou de l'Est : "on a besoin de construire".
  2. Construction du Gymnase Théodore Monod sur la ZNIEFF de la Carrière de l'Est
  3. L'Epée de Damoclès sur la carrière Saint-Pierre : une vielle histoire !!!

Cliquer pour agrandir :

L'Edito du Bulletin Municipal N°137 de Février 2009

Il convient également de lire le courrier suivant que nous avons adressé au Maire et qui est resté sans réponse. Cette lettre se voulait très constructive, positive et ouverte au dialogue.

>>Lettre des Abbesses de Gagny-Chelles adressée à la Mairie en date du 27-01-2009

mardi 20 janvier 2009

Le Parisien fait un article sur le film "Il était une fois Gagny"

Voici l'article paru ce matin (20/01/2009) dans le Parisien - Edition Seine-Saint-Denis

Le Gagny des années 1950 renaît en DVD

C’est un trésor gravé sur DVD : la mémoire historique du Gagny d’avant, un reportage exceptionnel tourné en 1952. Ce document unique a bien failli disparaître avant sa redécouverte dans un grenier et sa restauration par l’association les Abbesses de Gagny-Chelles. Elle le propose aujourd’hui sous la forme d’un DVD, « Il était une fois Gagny ».

Article du Parisien du 20/01/2009 sur - Il était une Gagny-

Le réalisateur, Maurice Pégon, est un Gabinien d’origine qui, en 1945 déjà, a filmé la libération de Paris. Sept ans plus tard, c’est sur son village qu’il braque l’objectif de sa caméra 9,5 mm. Un peu metteur en scène, Pégon demande à des acteurs de jouer les paysans en voiture à cheval. La caméra se promène dans un paysage bucolique et planté de belles demeures anciennes, les châteaux de Maison-Rouge, du Chesnay, la ferme Guyot, aujourd’hui disparus, qui ont laissé leur nom à des quartiers, parfois à des cités. Car, en 1952, sans être passéiste, Maurice Pégon voyait à l’oeuvre l’avancée inexorable de la ville et c’est pour la mémoire collective qu’il fixait ces images sur pellicule. Au long du film, sa voix raconte l’histoire des lieux et interpelle le spectateur sur la préservation du patrimoine. Une mise en garde balayée par la frénésie immobilière des années 1960.

Un film incroyable retrouvé par hasard

Ce film incroyable aurait pu ne jamais reparaître. Dans les années 1950, Maurice Pégon le prête à la mairie de Gagny, qui le perd. Trente ans plus tard, le documentariste retrouve la bobine. L’humidité en avait détruit le son et quelques minutes de film. Tout à la joie de ses retrouvailles, le réalisateur enregistre une nouvelle bande-son, mais décède avant le terme de sa mission. Le film retombe dans l’oubli. Il y a quelque temps, sa veuve remet la main dessus par hasard et entre en contact avec Christophe Nedelec, de l’association les Abbesses de Gagny-Chelles, qui met en valeur l’histoire et le patrimoine locaux. « En découvrant le film, nous n’en sommes pas revenus, raconte-t-il. Nous ne connaissions ce patrimoine qu’à travers des cartes postales. Aucune autre ville d’Ile-de-France ne possède un tel document. » Quatre-vingts heures de restauration plus tard, l’association est fière de proposer le documentaire sur DVD. Le travail de Maurice Pégon est finalement reconnu.

Dépôt-vente du DVD « Il était une fois Gagny » à la boucherie-charcuterie des Abbesses, 2, avenue de l’Abbaye et chez le fleuriste du Chesnay, 16, rue de la Haute-Carrière. Prix : 25 €. Contact : http://blog.gagny-abbesses.info.

Journaliste : Gireg Aubert

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Le résultat de cet article a été fulgurant. En effet, Le Fleuriste du Chesnay Mr Fournier a été pris d'assaut dés l'ouverture. Nous avons été forcé de renouveler le stock de DVD par 3 fois dans la journée du 20 Janvier date de la sortie de l'Article.

Nous allons livrer les quelques exemplaires qu'il nous reste demain en attendant un réassort prévu pour Vendredi après-midi.

Plus de 70 dvds ont été vendus dans cette seule journée dans nos différents points de vente.

Nous voulions remercier chaudement Mr Hervé Fournier, notre fleuriste du bas-Gagny (16, rue de la Haute-Carrière), pour avoir travaillé bénévolement, avec son fils, toute la journée pour distribuer le film. Il a été jusqu'à mettre des personnes en liste d'attente et à ne pas hésiter à les rappeler quand le film était à nouveau en stock.

Nous avons également une pensée toute particulière à nos anciens de la maison de retraite de la Cerisaie qui sont venus prendre un exemplaire pour le diffuser dans l'établissement. Comme il est dit dans le film "L'histoire locale est une résurrection".

Nous sommes toujours dans l'attente d'une réponse de la municipalité de Gagny, pour diffuser ce film gratuitement pendant une semaine dans la salle des fête de la ville et cela en collaboration avec la Société Historique du Raincy et du Pays d'Aulnoye (dont les historiens du film aujourd'hui disparus en sont les membres fondateurs, à savoir Georges Guyonnet et Jean Daquin).

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