vendredi 1 juin 2012
Lundi 04 juin 2012, Corinne Lepage visite l'espace naturel du Montguichet à Chelles
Par CN1037-GANDI le vendredi 1 juin 2012, 11:38 - Côte Montguichet - Chelles
vendredi 1 juin 2012
Par CN1037-GANDI le vendredi 1 juin 2012, 11:38 - Côte Montguichet - Chelles
lundi 28 mai 2012
Par CN1037-GANDI le lundi 28 mai 2012, 10:32 - Côte Montguichet - Chelles
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La chasse aux Orchidées |
jeudi 10 mai 2012
Par CN1037-GANDI le jeudi 10 mai 2012, 19:43 - Carrière Saint Pierre - Gagny
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Aux portes des orages |
vendredi 4 mai 2012
Par CN1037-GANDI le vendredi 4 mai 2012, 23:23 - Côte Montguichet - Chelles
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Encore des couleurs tombées du ciel |
samedi 21 avril 2012
Par CN1037-GANDI le samedi 21 avril 2012, 19:17 - Côte Montguichet - Chelles
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Les couleurs tombées du ciel |
lundi 2 avril 2012
Par CN1037-GANDI le lundi 2 avril 2012, 15:44 - Côte Montguichet - Chelles
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Le montguichet encore et toujours |
lundi 12 mars 2012
Par CN1037-GANDI le lundi 12 mars 2012, 01:28 - Bois des Coudreaux (Chelles)
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Le Printemps Chellois |
lundi 17 octobre 2011
Par CN1037-GANDI le lundi 17 octobre 2011, 10:10 - Aqueduc de la Dhuis
L'AEDD est une équipe d'une dizaine de journalistes spécialisés à Paris et en régions, elle produit de l'information dans les domaines suivants :
La ville de Paris renonce temporairement à la vente en Seine-et-Marne de parcelles (1) d'un aqueduc à un exploitant de carrière de gypse, annonce le groupe des élus parisiens et régionaux du Parti de Gauche, jeudi 13 octobre 2011. Long de 130 kilomètres, l'aqueduc construit au XIXe siècle traverse l'Aisne, la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis, et alimentait la capitale à partir des sources de la Dhuis (Aisne). Il abrite une promenade de 27 kilomètres et constitue « un élément clef » de la trame verte francilienne, selon le groupe. La cession de parcelles concerne un linéaire de cinq kilomètres. « Au vu de la contestation », le projet de délibération destiné à céder une superficie de 63 200 mètres carrés à la société BPB Placoplatre pour y ouvrir une carrière à ciel ouvert a été retiré de l'ordre du jour du Conseil de Paris des lundi 17 et mardi 18 octobre prochains », confirme à AEDD l'entourage de Pierre Mansat, adjoint (PC) au maire de Paris chargé de Paris Métropole et des relations avec les collectivités territoriales d'Île-de-France. Mais l'exploitation de la carrière est « inéluctable ».
La cession de ce « corridor biologique important, reliant plusieurs espaces boisés de la région » se fait « pour de petits motifs financiers », estime de son côté le groupe EELV (Europe Ecologie-Les Verts) de Paris. D'abord car la société BPP Placoplatre « pourrait opter pour une activité souterraine, moins impactante, mais s'y refuse ». Ensuite parce que le gain tiré de la vente est « modique : dix euros par mètre carré, soit 630 000 euros au total à comparer avec les 900 millions d'euros de droits de mutation attendus par la ville en 2011 ».
EELV Paris souligne la « totale contradiction » du projet avec la somme de six millions d'euros investie en 2007-2008 par Eau de Paris et l'agence des espaces verts d'Île-de-France pour l'aménagement de la promenade, le protocole de coopération signé entre la ville et le département de Seine-et-Marne ayant notamment pour objectif le développement des trames vertes, ainsi qu'avec le plan biodiversité que la ville prévoit de présenter au Conseil de Paris en novembre prochain.
Pour le Parti de gauche, aucune des collectivités concernées n'avaient été sollicitées ou invitées à délibérer sur ce projet. Le groupe estime que « les enjeux écologiques et de qualité de vie n'ont pas à être sacrifiés au profit d'intérêts privés », et entend interpeller à ce sujet Jean-Paul Huchon, président (PS) du conseil régional d'Île-de-France, lors de la commission permanente du conseil régional, jeudi 20 octobre.
Même si la cession est temporairement reportée, afin de « mieux l'expliquer », « l'exploitation de la carrière de gypse aura lieu de toute façon », explique à AEDD l'entourage de Pierre Mansat. « Il y a une pénurie de gypse en France, et ce minéral fait partie des matériaux reconnus d'intérêt national. Or, 30 % du gypse français se trouvent dans ce filon-là. » La ville rappelle que la préfecture de Seine-et-Marne a pris un arrêté en 2006 déclarant PIG (projet d'intérêt général) cette exploitation. « L'Etat peut nous expulser à tout moment. » La délégation juge encore que « si le gypse n'est pas exploité ici, il viendra par camion de Pologne ou de Belgique. Il faut privilégier les circuits courts. »
L'entourage de Pierre Mansat précise que « ce qui est prévu, c'est que BPB Placoplate et l'agence régionale des espaces verts vérifient que la continuité du tracé de la promenade soit assurée. Les six hectares ne seront pas exploités d'un coup, mais petit à petit. » La société « a déjà exploité 200 hectares comme ça dans la zone ».
Selon la ville, « le schéma départemental de Seine-et-Marne des espaces naturels sensibles et celui des carrières ont bien considéré que cette zone ferait l'objet d'une exploitation ».
Quant à l'accord des collectivités, « la ville de Paris s'assure systématiquement de leur consentement lorsqu'elle veut vendre du foncier sur leur territoire. En général, c'est l'exécutif qui décide. Libre à elles de soumettre le projet dans leur assemblée délibérante. Seule l'une des quatre communes concernées en a débattu en conseil municipal ».
Pour Île-de-France Environnement, « l'exploitation souterraine de ce gisement est possible, comme cela a été fait en Seine-Saint-Denis ». La fédération d'associations environnementales franciliennes réclame « qu'aucune nouvelle exploitation de gypse à ciel ouvert ne soit plus autorisée sur ce secteur ».
(1) Quatre communes sont concernées : Le Pin, Claye-Souilly, Villevaudé et Annet-sur-Marne
samedi 15 octobre 2011
Par CN1037-GANDI le samedi 15 octobre 2011, 18:32 - Aqueduc de la Dhuis
Comme nous vous l'avons annoncé dans notre article - Main basse sur l'aqueduc de la Dhuis, ce dernier est gravement menacé par la volonté d'un industriel (BP Placo - Saint-Gobain) de le racheter à la Mairie de Paris pour réaliser une carrière à ciel ouvert sur son emprise.
Afin de bien comprendre l'importance écologique de l'Aqueduc de la Dhuis, voici quelques extraits du Diagnostic du territoire des coteaux de l’Aulnoye - Septembre 2007 réalisé pour l'Agence des Espaces Verts d'Ile de France :
L’aqueduc de la Dhuis est inclus au réseau Natura 2000 (ZPS - zones de protection spéciale). Il est une entité écologique à part entière. Le chemin de la Dhuis constitue une continuité verte qui traverse l’ensemble de la zone étudiée et permet de maintenir un lien fonctionnel pour de nombreuses espèces.
La promenade de la Dhuis chemine à flanc de coteaux. Elle offre une occasion unique de perception sur l’ensemble du territoire.
Enfin, le massif de l’Aulnoye n’est pas isolé au sein de la trame urbaine. Des continuités écologiques existent à l’est vers les espaces agricoles et boisés de la Seine-et-Marne. Le maintien de ces continuités est indispensable à la survie du massif de l’Aulnoye en tant que zone d’intérêt écologique majeure...
Les continuités écologiques existantes (promenade de la Dhuis notamment, continuités vers la plaine du pin) indispensables au maintien des échanges biologiques.
vendredi 14 octobre 2011
Par CN1037-GANDI le vendredi 14 octobre 2011, 22:36 - Aqueduc de la Dhuis
Le Parisien de ce matin dévoile le projet de destruction de l'Aqueduc de la Dhuis. Par le même temps, ce journal dévoile également le recul de la Mairie de Paris sous la pression des citoyens. En effet, le projet ne sera pas voté lors du prochain conseil de Paris, la Mairie de Paris a décidé de renvoyer le Conseil Général de Seine et Marne CG77 devant ses responsabilités.
L'article n'hésite pas à interpeller Mr Jean Dey (EELV) sur son implication dans cette affaire :
Hier soir, la patate chaude, réexpédiée à Melun, brûlait encore : le premier vice-président (EELV) du département, Jean Dey, « cherchait toujours dans les archives » les traces d’un accord de ses services sur la transformation de l’aqueduc en carrière à ciel ouvert.
La polémique est enterrée vivante. Après une semaine de flottement, la mairie de Paris vient de faire machine arrière dans son projet de vendre à un exploitant de carrières un poumon vert de l’Est francilien : l’aqueduc de la Dhuis. Cet ouvrage d’art souterrain, propriété historique de la Ville de Paris, a été transformé en 2007 par l’agence régionale des espaces verts en une promenade de 27km à travers la Seine-et-Marne. Un havre pour piétons à 6 M€… également convoité par les engins de chantier.
La semaine dernière, les élus du Conseil de Paris ont reçu, parmi les délibérations à venir de la ville, un projet de convention avec la société Placoplatre pour la vente de 6 ha de l’aqueduc de la Dhuis, entre Le Pin et Claye-Souilly. L’exploitant compte agrandir sur ces parcelles sa vaste carrière de gypse à ciel ouvert, toute proche. Il y met le prix : 631 000 €, soit 252 000 € de plus que l’évaluation des Domaines.
Un prix auquel devait s’ajouter « une valeur de 2,1 M€ pour la levée de la servitude aquifère » au bénéfice de la Ville de Paris, précise le projet de convention. Mais l’opération, à peine émergée, a suscité une levée de boucliers : la fédération Ile-de-France Environnement, qui regroupe 300 associations écologistes, a voté une motion contre le projet. Une pétition en ligne a recueilli en trois jours plus de 1 400 signatures.
Des promeneurs ont préparé des pancartes rageuses. « Il serait aberrant, au niveau de l’utilisation de l’argent public, de vendre cette trame verte alors qu’elle vient d’être aménagée pour 6 M€ », note Danielle Fournier, la coprésidente du groupe parisien Europe Ecologie-les Verts(EELV), qui a demandé le retrait de la délibération. La mairie a cédé mercredi soir. « Comme cet aqueduc n’a plus d’utilité pour la Ville de Paris, on se cale sur la volonté des collectivités concernées, affirme-t-on au cabinet de Bertrand Delanoë.
Le conseil général de Seine-et-Marne souhaite disposer de temps pour discuter avec les associations environnementales. »
Hier soir, la patate chaude, réexpédiée à Melun, brûlait encore : le premier vice-président (EELV) du département, Jean Dey, « cherchait toujours dans les archives » les traces d’un accord de ses services sur la transformation de l’aqueduc en carrière à ciel ouvert.
Deux ou trois fois par an, Noël et Jacques chaussent leurs guêtres pour arpenter le sentier de grande randonnée (GR) 14A, qui longe l’aqueduc de la Dhuis entre Le Raincy (Seine-Saint-Denis) et Dampmart. Soulagés à l’idée que l’examen du projet au Conseil de Paris soit reporté, ils insistent sur la nécessité de « garder le lieu en l’état ». « Entre 2005 et 2008, il y avait eu un très bon aménagement fait par l’Agence des espaces verts d’Ile-de-France (AEV). Le sentier est adapté aux familles », estime Jacques, animateur de randonnées pédestres.
« L’idée de se promener au-dessus d’un édifice historique est également très plaisant, ajoute Noël. A plusieurs endroits du sentier, on peut voir les regards de la Dhuis, ces puits d’époque munis d’échelles et servant à descendre dans l’aqueduc. » Et d’insister sur l’importance d’un tel « couloir écologique, dont le revêtement meuble permet à la faune d’aller et venir, en facilitant les liaisons avec les bois des alentours ».
L’AEV négocie actuellement un détournement du sentier si la carrière venait à voir le jour. « Un chemin large d’un mètre qui longerait le grillage entourant l’exploitation sur 5 km, souffle une source proche du dossier. Qui voudrait randonner là-dessus ? »
Par CN1037-GANDI le vendredi 14 octobre 2011, 20:52 - Aqueduc de la Dhuis
Au dessus de l’aqueduc souterrain de Seine-et-Marne, patrimoine historique construit au XIXe siècle et long de 130 km, qui relie Pargny-la-Dhuys (Aisne) au réservoir de Ménilmontant dans le 20ème arrondissement de Paris, a été aménagée une promenade sur plus de 27 km. Cette promenade, très prisée par les franciliens, relie 13 communes, et contribue à la préservation de la biodiversité et au déplacement des espèces, ce qui en fait un des éléments clefs de la trame verte de l'Est Francilien. Alors que l’Agence des Espaces Verts d’Ile-de-France et Eau de Paris avaient engagé des investissements pour l’aménagement de cette promenade pour un montant de 6 millions d’euros en 2007-2008, la Ville de Paris avait prévu de présenter une délibération pour la séance du Conseil de Paris d’octobre, visant ni plus ni moins de céder le terrain à une entreprise privée, BPP Placoplatre afin de permettre l’exploitation d’une carrière de gypse à ciel ouvert pour la fabrication du plâtre, pour un montant bien faible, soit 630 000 € (à raison de 10€ / m2).
Ni le conseil général du 77, ni les conseils municipaux des communes concernées n’avaient été sollicités en amont et n’avaient été invités à délibérer sur un choix bousculant profondément l’aménagement du territoire si important, tant d’un point de vue écologique que de la qualité du cadre de vie ! Fort heureusement, la mobilisation des associations écologiques et environnementales, et l’opposition d’élu-e-s ont su faire entendre raison, momentanément seulement, à l’exécutif parisien et la délibération a été retirée.
Les conseiller-e-s de Paris du Parti de Gauche auraient en l’état voté contre cette délibération. Alors que la gauche s’est opposée au projet du « Grand Paris », notamment du fait de la méthode autoritaire méprisant les collectivités territoriales dans la recherche de l’intérêt général, le Parti de gauche exige que la Ville de Paris permette réellement en amont de ses choix le débat démocratique.
Paris est une ville riche comparée à certains départements et municipalités franciliennes et se doit de concevoir ses projets et son budget dans un esprit de solidarité, celle de la métropole solidaire. Les enjeux écologiques et de qualité de vie n’ont pas à être sacrifiés au profit d’intérêts privés !
Les élus régionaux du Parti de Gauche interpelleront, lors de la Commission permanente du jeudi 20 octobre, le président du Conseil régional d'Ile-de-France sur l’utilisation des financements publics investis sur ce projet et la nécessaire concertation démocratique.
mercredi 12 octobre 2011
Par CN1037-GANDI le mercredi 12 octobre 2011, 15:08 - Aqueduc de la Dhuis
C’est un superbe aqueduc de Seine-et-Marne construit au XIXe siècle et long de 130 km, qui relie Pargny-la-Dhuys (Aisne) au réservoir de Ménilmontant dans le XX e arrondissement de Paris. L’aqueduc abrite une promenade à flanc de coteaux sur plus de 27 km, véritable balcon où piétons et cyclistes franciliens contemplent une grande diversité de paysages. C’est également un corridor biologique important reliant plusieurs espaces boisés de la région.
Nous avons donc ici un patrimoine historique et environnemental exceptionnel sur une superficie de 63 200 m 2 et un linaire de près de 5 km sur les communes d’Annet-sur-Marne, Villevaudé, Claye-Souilly et Le Pin... que la Ville de Paris s’apprête à brader afin de permettre l’exploitation d’une carrière de gypse à ciel ouvert !
Pourquoi cette folie, pourquoi sacrifier une partie de l’aqueduc de la Dhuis ? Pour de petits motifs financiers.
dimanche 9 octobre 2011
Par CN1037-GANDI le dimanche 9 octobre 2011, 22:08 - Aqueduc de la Dhuis
Comme nous vous l'avons annoncé dans notre article - Main basse sur l'aqueduc de la Dhuis, ce dernier est gravement menacé. Le 17 et 18 octobre 2011 prochain, le conseil de la ville de Paris est appelé à voter le sacrifice de l'aqueduc de la Dhuis au profit d'un industriel du plâtre (Placoplatre).
Affiche de la pétition
contre la destruction de l'Aqueduc de la Dhuis :
Par CN1037-GANDI le dimanche 9 octobre 2011, 09:12 - Aqueduc de la Dhuis
Comme nous vous l'avons annoncé dans notre article - Main basse sur l'aqueduc de la Dhuis, ce dernier est gravement menacé. Le 17 et 18 octobre 2011 prochain, le conseil de la ville de Paris est appelé à voter le sacrifice de l'aqueduc de la Dhuis au profit d'un industriel du plâtre (Placoplatre). Dans notre article Aqueduc de la Dhuis : Délibération du prochain conseil municipal de Paris (17-18/10/2011), nous vous avions détaillé le projet de délibération.
« En raison de l’importance économique nationale de la ressources en gypse, la Préfecture de Seine et Marne a pris un arrêté, le 21 septembre 2006, déclarant Projet d’Intérêt Général (PIG) l’exploitation de gypse de la butte d’Aulnay, sur un périmètre exclusivement situé sur la commune de Villevaudé modifiant ainsi le PLU de cette commune afin de le rendre compatible avec l’ouverture de carrières. »
Un Projet d’Intérêt Général (PIG) PIG n'a qu'une durée de vie de 3 ans. Ce PIG a pris fin le 15 janvier 2010 et ne concernait qu'un secteur de la commune de Villevaudé !! Il convient de préciser que ce PIG n’avait qu’un périmètre limité au bois Gratuel sur la commune de Villevaudé. Un périmètre qui ne concernait qu'une partie des parcelles de l'Aqueduc de la Dhuis devant être cédées à la société Placoplatre.
Les communes de Villevaudé, le Pin, Claye-Souilly et Annet-sur-Marne ont été saisies par courrier du 13 mai 2011. Toutes, hormis la commune Villevaudé, ont fait connaitre leur accord de principe.
Seule la commune d'Annet-sur-Marne a délibéré lors d'un conseil municipal en date du 02/08/2011 la vente des terrains de l'Aqueduc de la Dhuis dans son conseil municipal.
Les communes de Villevaudé et de Claye-Souilly n'ont pas, à ce jour, approuvé ce projet de cession à Placoplatre lors d'un conseil municipal.
Fait plus beaucoup étrange est l'analyse de la délibération du conseil municipal de la ville de LE PIN en date du 26/09/2008 qui approuve l'acquisition de l'emprise de l'aqueduc par l'Agence des Espaces Verts d'Ile de France et cela :
Considérant l’intérêt : • que présente la promenade de l’aqueduc de la Dhuys, coulée verte majeure de l’Est parisien, aménagée par l’Agence des Espaces Verts sur un parcours de 25 km et une largeur moyenne de 10 à 20 m entre Le Raincy en Seine-Saint-Denis et Dampmart en Seine-et-Marne, • de permettre le maintien et la pérennité de cet aménagement, • de permettre à la Région, qu’à travers la politique d’intervention foncière de l’Agence des Espaces Verts, elle puisse acquérir l’emprise et contribuer à la pérennité de la promenade,
Le Conseil Général de Seine et Marne, gestionnaire d’une Zone Naturelle d’Intérêt Écologique Faunistique et floristique (ZNIEFF), a également validé ce projet.
Nous avons interpellé 4 conseillers généraux de Seine et Marne ainsi que son président : les élus du Conseil général de Seine et Marne n’ont pas examiné de mémoire sur ce sujet et n’ont donc pas eu à donner un avis. Il semblerait que si réponse a été donnée, cela soit le fait des services qui auraient suivi à la lettre les instructions données par l'Agence des Espaces Verts d'Ile de France.
jeudi 6 octobre 2011
Par CN1037-GANDI le jeudi 6 octobre 2011, 09:35 - Aqueduc de la Dhuis
Comme nous vous l'avons annoncé dans notre article - Main basse sur l'aqueduc de la Dhuis, ce dernier est gravement menacé.
Le 17 et 18 octobre 2011 prochain, le conseil de la ville de Paris est appelé à voter le sacrifice de l'aqueduc de la Dhuis au profit d'un industriel du plâtre (Placoplatre).
« Par ailleurs, BPB Placoplâtre devra réaliser, pendant et à l’issue du chantier d’exploitation des sous-sols, les aménagements nécessaires au dévoiement et à la reconstitution de la promenade douce aménagée par l’Agence des Espaces Verts de la Région Ile-de-France (AEV) sur le tracé de l’aqueduc, sur un linéaire de 4,8 km.
Ces aménagements ont été réalisés conformément à une convention signée le 7 avril 1997 entre Eau de Paris et l’AEV qui vient à expiration le 31 décembre 2011.
Conformément à ses engagements, l’acquéreur devra donc rétrocéder les terrains à titre gratuit à l’AEV une fois l’exploitation des sols et la remise en état réalisées. Cet engagement sera confirmé par une convention à intervenir entre BPB Placoplâtre et l’AEV. L’AEV a donné son accord sur cette opération immobilière par courrier du 22 juin 2011. Elle a validé les tracés retenus et le cahier des charges des travaux.
Les communes de Villevaudé, le Pin, Claye-Souilly et Annet-sur-Marne ont été saisies par courrier du 13 mai 2011.
Toutes, hormis la commune Villevaudé, ont fait connaitre leur accord de principe.
Les communes ont en outre été avisées des intentions de la Ville de sa renonciation aux servitudes de protection sanitaire et aux restrictions d’usage liées à l’aqueduc dans la mesure où celui-ci est mis hors service depuis de nombreuses années et que sa vente est envisagée à court terme.
Le Conseil Général de Seine et Marne, gestionnaire d’une Zone Naturelle d’Intérêt Écologique Faunistique et floristique (ZNIEFF), a également validé ce projet.
En raison de l’importance économique nationale de la ressources en gypse, la Préfecture de Seine et Marne a pris un arrêté, le 21 septembre 2006, déclarant Projet d’Intérêt Général (PIG) l’exploitation de gypse de la butte d’Aulnay, sur un périmètre exclusivement situé sur la commune de Villevaudé modifiant ainsi le PLU de cette commune afin de le rendre compatible avec l’ouverture de carrières. »
mardi 4 octobre 2011
Par CN1037-GANDI le mardi 4 octobre 2011, 11:08 - Aqueduc de la Dhuis
Long de 131 Kms, l'aqueduc de la Dhuis (ou Dhuys) a été construit entre 1863 et 1865 à la demande de Napoléon III (1808-1873) pour acheminer l'eau de la Dhuys. Son point de départ se trouve à Pargny-la-Dhuys (Aisne) et il se termine dans le réservoir de Ménilmontant (Paris XXème).
Aujourd’hui, l’aqueduc de la Dhuis est géré par la SAGEP au niveau des eaux. L’entretien des espaces verts est assuré par l’Agence des Espaces Verts d’Ile de France (AEV). Il est menacé de déclassement d’utilité publique car il n’alimente presque plus Paris en eau potable du fait de la vétusté des conduites. Il fournit majoritairement en eau le parc d’attractions Disneyland, seul le surplus est dirigé vers Paris.
La promenade de l’aqueduc de la Dhuis a été aménagée en 2007-2008 par l’AEV, sur l’espace libre disponible au-dessus de l’aqueduc souterrain de la Dhuis. Le coût de cet aménagement fut de 6 millions d’euros.
Sur 27 Kms, la promenade de l’aqueduc de la Dhuis, située à flanc de coteaux, se caractérise par des paysages agréables et très divers. Cette promenade réalisée sur l’emprise de l'aqueduc relie les villes suivantes : Le Raincy (93), Gagny (93), Monfermeil (93), Clichy-sous-Bois (93), Coubron (93), Courtry (77), Le Pin (77), Claye-Souilly (77), Villevaude (77), Annet-sur-Marne (77), Carnetin (77), Thorigny-sur-Marne (77), Dampmart (77).
Véritable trait d’union entre la ville, la forêt et la campagne, cet itinéraire très prisé des populations relie plusieurs espaces boisés de la région tels que la forêt de Bondy le bois, la forêt régionale des Vallières ou encore la base de loisirs de Jablines-Annet.
Cette promenade est une coulée verte indispensable favorisant le maintien de la biodiversité en permettant le déplacement des espèces. C'est un des éléments clefs de la trame verte de l'Est Francilien.
dimanche 2 octobre 2011
Par CN1037-GANDI le dimanche 2 octobre 2011, 23:09 - Côte Montguichet - Chelles
lundi 19 septembre 2011
Par CN1037-GANDI le lundi 19 septembre 2011, 00:33 - Jardins Partagés
Ce week-end (17 et 18 septembre 2011), nous avons travaillé d'arrache-pied afin de clôturer le Jardin des Abbesses. Pour voir tous les billets liés à notre projet de Jardin : veuillez cliquez-ici.
Un grand merci également, à Joël, Véronique, Noël et Hervé qui sont venus nous prêter mains fortes dans cette phase crutiale pour le devenir de notre projet de Jardin.
Nous voulons également remercier les personnes du voisinage qui sont venus chaudement nous encourager.
samedi 3 septembre 2011
Par CN1037-GANDI le samedi 3 septembre 2011, 10:49 - Naturalité Régionale
La Réserve biologique des Monts d'Azur est une mosaïque de milieux ouverts (falaises rocheuses, éboulis, pelouses) et de boisements remarquables (chênes pubescents, charmes houblons, hêtres, sorbiers…).
Ancienne réserve de chasse, elle accueille une faune particulièrement riche et variée : chamois, cerf, chevreuil, aigle royal, pic noir, tétras-lyre…
Au total, plus de 500 espèces dont une vingtaine sont protégées par des conventions internationales.
Située sur la commune de Thorenc dans les Alpes-Maritimes, la Réserve est à 40 minutes de route de Grasse (06), à un peu plus d’une heure de Draguignan (83) et Nice (06).
La Réserve des Monts d’Azur est le seul endroit en Europe où le bison d’Europe et le cheval de Przewalski vivent à nouveau ensemble.
Ces deux espèces emblématiques que l’homme avait quasiment exterminées sont à nouveau réunies sur un territoire qu’elles partagent avec les cerfs, chevreuils, chamois, sangliers, renards, loups, lynx et de nombreuses autres espèces. Sauvages et libres !
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La réserve biologique des Monts d'Azur. |
lundi 8 août 2011
Par CN1037-GANDI le lundi 8 août 2011, 18:25 - Naturalité Régionale
En ce début du mois d'Août 2011 qui ressemble à l'automne, nous sommes allés entre 2 trombes d'eau s'immerger dans la forêt de Sénart.
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