samedi 27 novembre 2010
Des oiseaux communs des Abbesses de Gagny-Chelles au profit d'une éclairci
Par CN1037-GANDI le samedi 27 novembre 2010, 13:23 - La Faune et la Flore de nos jardins
samedi 27 novembre 2010
Par CN1037-GANDI le samedi 27 novembre 2010, 13:23 - La Faune et la Flore de nos jardins
lundi 22 novembre 2010
Par CN1037-GANDI le lundi 22 novembre 2010, 23:08 - Naturalité Régionale
Les ornithologues d'Ile de France apprécieront sans doute ces modestes photos qui ont été prises au Parc du Sausset, à Coubron ou encore dans le vieux pays de Tremblay.
Cette photo a été prise le 22/11/2010 à Coubron en contrebas du "sinistre" fort de Vaujours. Elles semblent être de jeunes spécimens ce qui pourrait laisser penser que cette espèce niche dans le secteur. Dans le département de Seine Saint-Denis, elles n'ont été recensées qu'au Vieux-Pays de Tremblay. Elles pourraient être présentes dans les carrières de Vaujours en cours d'exploitation par la société Placoplatre.
vendredi 12 novembre 2010
Par CN1037-GANDI le vendredi 12 novembre 2010, 00:34 - La Faune et la Flore de nos jardins
dimanche 7 novembre 2010
Par CN1037-GANDI le dimanche 7 novembre 2010, 23:04 - La Faune et la Flore de nos jardins
Le ciel est gris, la pluie est froide et la lumière est fantomatique. Les conditions pour prendre des photos d'oiseaux sont très loin d'être bonnes. Pourtant, ces photos prises, en ce début du mois de Novembre, méritaient, malgré leurs imperfections, un petit billet.
lundi 19 juillet 2010
Par CN1037-GANDI le lundi 19 juillet 2010, 11:13 - Carrière Saint Pierre - Gagny
dimanche 4 juillet 2010
Par CN1037-GANDI le dimanche 4 juillet 2010, 22:50 - Carrière Saint Pierre - Gagny
vendredi 2 juillet 2010
Par CN1037-GANDI le vendredi 2 juillet 2010, 11:50 - La Faune et la Flore de nos jardins
jeudi 1 juillet 2010
Par CN1037-GANDI le jeudi 1 juillet 2010, 23:51 - Carrière Saint Pierre - Gagny
vendredi 25 juin 2010
Par CN1037-GANDI le vendredi 25 juin 2010, 00:32 - La Faune et la Flore de nos jardins
Pour aérer sa salle de bain, Joël a installé une vmc. La grille d'aération est visible sur l'un des murs extérieurs de sa maison.
Non loin, un moineau domestique mâle (Passer domesticus) semble la surveiller. La grille est quelque peu abimée, suffisamment pour laisser passer des passereaux.
Une femelle moineau surgit d'un arbre voisin et entre dans le conduit d'aération. Le couple a nidifié dans le mur de Joël.
Après le départ de sa mère, un jeune moineau avide d'insectes et de larves se montre.
Il n'est pas seul, un autre, plus discrètement, s'approche du bord.
Malgré le caractère commun de cette espèce, combien d'entre vous avez pris le temps de les observer ?
lundi 3 mai 2010
Par CN1037-GANDI le lundi 3 mai 2010, 16:24 - Côte Montguichet - Chelles
lundi 26 avril 2010
Par CN1037-GANDI le lundi 26 avril 2010, 00:51 - Carrière Saint Pierre - Gagny
jeudi 1 avril 2010
Par CN1037-GANDI le jeudi 1 avril 2010, 01:13 - Naturalité Régionale
La veille Jacques Dumand de l'Association de Gestion et de Valorisation de la Réserve Naturelle de Vaires-sur-Marne (AGVRNV) nous a parlé de ce bois situé dans le quartier des Coudreaux de Chelles/Montfermeil qu'il vient de visiter.
Mardi 30 Mars 2010, nous avons donc fait une balade à la découverte de ce bois.
Le bois des Coudreaux a été entièrement aménagé en 1997, il propose un parcours santé avec différents exercices : poutres, barres de suspension, etc.
Nos pas nous portent sur un point central dominé par une grande mare artificielle.
Celle-ci à notre grande surprise est très bien réalisée : peu profonde, des berges très progressives, des amas de pierres avec une flore un peu diversifiée. Nous y avons observé les plantes suivantes : Roseau commun (Phragmites communis), Iris des marais (Iris pseudacorus), Prêle d'Amérique (Equisetum americanum), des nénuphars ou Nymphéa à identifier.
Nous voyons des épinoches (Gasterosteidae) s'ébrouer dans l'eau.
Un petit coup d'épuisette et nous découvrons une larve de libellule.
Et puis, plus loin...une belle communauté de Tritons Palmés :
Dans la mare, nous voyons une quantité importante de pontes de crapauds communs (bufo bufo) :
Nous continuons notre route et nous découvrons un bassin de rétention quasiment à sec. il n'y a qu'une grosse flaque de 1 à 3 cms de profondeur. L'eau y est fétide avec des relents de déjections fécales.
Malgré l'eau croupie, l'épuisette ramène quelques tritons palmés faméliques :
Plus loin, il y a un autre bassin de rétention, bien plein celui là.
Il y a une grosse grenouille verte (Rana ridibunda) décédée depuis peu dans l'eau :
Les berges sont recouvertes de pontes de grenouilles en amas.
Nous poursuivons notre chemin dans les bois.
Nous essayons en vain d'avoir la chance de voir la Chouette hulotte (Strix aluco) observée par Jacques Dumand la veille.
vendredi 19 mars 2010
Par CN1037-GANDI le vendredi 19 mars 2010, 21:53 - La Faune et la Flore de nos jardins
Quand le printemps approche et lorsque le soleil est au rendez-vous : il faut encore et toujours sortir son téléobjectif pour essayer de faire de belles photos !!!
lundi 15 mars 2010
Par CN1037-GANDI le lundi 15 mars 2010, 18:32 - La Faune et la Flore de nos jardins
mardi 23 février 2010
Par CN1037-GANDI le mardi 23 février 2010, 00:40 - La Faune et la Flore de nos jardins
Si vous observez bien, les oiseaux de vos jardins, il est possible que vous découvriez une espèce magnifique : Le Verdier d'Europe. Un couple du quartier des Abbesses de Gagny-Chelles a donc été photographié en digiscopie pour le plaisir des yeux et le ravissement du cœur.
Le verdier d'Europe (Carduelis chloris ou Chloris chloris) est une petite espèce de passereau partiellement migrateur, de la famille des fringillidés.
Le mâle est vert jaune olivâtre avec des taches jaunes vives sur les ailes et sur sa queue fourchue. Il a aussi des taches jaunes moins vives sur la tête, le ventre et les flancs. La femelle est moins verte que le mâle, un peu plus grise et ses taches jaunes sont moins nettes que celles du mâle.
Le verdier est l'un des passereaux les plus répandus dans l'entourage de l'homme. Il habite dans les jardins, vergers, lisières des forêts et parcs et aussi les forêts de conifères.
Le verdier se nourrit principalement de graines variées, d'insectes, de petits fruits et de baies, et il a besoin chaque jour d'une bonne quantité de nourriture en accord avec sa taille. Les jeunes sont nourris avec des larves d'insectes.
Le verdier a peu à peu colonisé les villes au XX° siècle. Ce changement d'habitudes est dû en partie à la raréfaction des graines de plantes sauvages, conséquence de l'industrialisation de l'agriculture. De plus, le verdier sait profiter des aliments qui lui sont offerts (cacahuètes, graines de tournesol); l'hiver, ils fréquentent en bande les mangeoires, se montrant souvent agressifs pour maintenir leur position. Certains peuvent même s'établir à proximité pour nicher si la nourriture est régulièrement fournie tout au long de l'été. Leur vol, à grands coups d'aile lents, est papillonnant à la manière des chauve-souris.
mardi 2 février 2010
Par CN1037-GANDI le mardi 2 février 2010, 10:01 - Côte Montguichet - Chelles
Nous savions qu'il y avait des Épervier d'Europe ( Accipiter nisus ) dans les coteaux du Beauzet ou Montguichet sur la commune de Chelles. Nous les avions déjà repéré en vol mais à des distances rendant impossible la prise de photos significatives.
Heureusement, Laurent Lagache du Corif est passé par là. Il a pu photographier un mâle à l'affût dans un jardin du quartier des Abbesses côté Chelles.
Les Épervier d'Europe ( Accipiter nisus ) sont protégés en région Ile de France.
L'épervier d'Europe est un petit rapace ornithophage. Son régime alimentaire dépend du sexe : la femelle peut s'attaquer à des oiseaux de la taille d'un geai ou d'un pigeon alors que le mâle ne se nourrit que de petits passereaux jusqu'à la taille des grives, par exemple des linottes, des moineaux ou des bruants. L'épervier longe les haies, fonce sur une troupe de passereaux et poursuit sa victime à vive allure.
Le dimorphisme sexuel est marqué : le mâle (environ 130 à 180 g) est un tiers plus petit que la femelle (environ 230 à 300 g).
Il est un rapace diurne des régions boisées. L'épervier d'Europe habite les bois, les forêts et les bosquets. On le voit survoler les lisières de forêts d'un vol caractérisé par des battements d'ailes rapides, entrecoupés de courts vols planés en arc de cercle. Il vole avec une trajectoire légèrement onduleuse très souvent près du sol pour surprendre ses proies.
Il peut vivre jusqu'à l'âge vénérable de 16ans.
mardi 26 janvier 2010
Par CN1037-GANDI le mardi 26 janvier 2010, 20:11 - Carrière Saint Pierre - Gagny
Le pic noir est le plus grand des pics (46 cm). Il est aisément reconnaissable par sa couleur entièrement noire, avec une calotte rouge vif s'étendant du front jusqu'à l'arrière de la nuque. C'est un oiseau forestier au tambourinage très sonore, des forêts de hêtres et de conifères qui se repaît d'insectes xylophages. Le pic noir adopte des mœurs diurnes. C'est un sédentaire. Le pic noir est un grimpeur averti, s'agrippant à l'écorce des arbres à l'aide de ses ongles pointus. Constamment en mouvement, il peut passer sans relâche d'un arbre à l'autre en criant.
Nous l'entendions tambouriner bruyamment sur le site depuis quelques temps sans pouvoir le prendre en photo, ni l'identifier. Olivier Laporte a réussi le 17 Janvier 2010 a le prendre en photo en vol non loin du collège Théodore Monod. C'est une nouvelle observation sur le site
Cette buse variable a été observée le 25 Janvier 2010 au dessus de la steppe aride dans la carrière Saint-Pierre de Gagny. La buse variable est le rapace le plus répandu en Europe. Diurne, elle est très active, souvent en vol. Elle a la vue la plus perçante de tous les oiseaux de proie. Elle plane sur les champs et les forêts, elle passe aussi de longs moments posée en hauteur. Elle s'alimente de petits mammifères qu'elle chasse au sol, mais aussi d'oiseaux, reptiles, batraciens et insectes. La majeure partie des proies sont capturées après avoir été localisées à vue, en volant en cercles à basse altitude, mais aussi à des distances d'une centaine de mètres.
jeudi 10 avril 2008
Par CN1037-GANDI le jeudi 10 avril 2008, 21:54 - La Faune et la Flore de nos jardins
Il y a ceux qui les ont vus, ceux qui croient les avoir aperçus et ceux qui découvrent au petit matin ou au retour du travail leurs bassins ornementaux vidés de leurs poissons ou qui retrouvent des crapauds déchiquetés dans leurs jardins. Depuis Mars, ils sont de retour aux Abbesses et une psychose "hitchcockienne" s'est emparée des amoureux des carpes koïs et autres poissons rouges du quartier.
Voici une photo prise par un habitant des Abbesses d'un Héron cendré du quartier à l'affût d'un poisson bien "dodue". Merci à hubilly pour nous avoir transmis cette photo exceptionnelle prise le 22 mars dernier, nous l'avions rêvé maintenant nous l'avons :
Cliquer pour agrandir :
De la même famille que les cigognes, les hérons cendrés sont une espèce protégée qui se caractérisent par un long cou, un bec long et pointu et de hautes pattes. Le héron cendré possède une excellente vue panoramique latérale et une très bonne vision binoculaire frontale. Son ouïe, également très développée, le fait réagir aux moindres bruits suspects. Le héron cendré atteint en général 95 cm de hauteur et une envergure de 1,85 m pour un poids de 1,6 à 2 kg.
Le héron cendré se nourrit le plus souvent de poissons, mais il n'est pas exclusivement ichtyophage.
Le héron cendré présente un plumage à dominante grise. Les jeunes ont un plumage plus terne : leur dos est gris-brunâtre, leur cou est gris et leur ventre est blanc rayé noir. Ils n'ont pas de "huppe". Les jeunes hérons acquièrent leur plumage d'adulte à l'âge de deux ans. Le héron cendré peut vivre 25 ans.
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